Vous avez pris deux décisions négatives concernant l’attribution du Revenu Minimum d’Insertion (pièce 1), j’en ai pris acte. Par courriers recommandés du 15 janvier 1997, du 05 février 1997 et du 27 août 1997 (pièce 2), je vous ai demandé de bien vouloir justifier vos décisions, ce que vous n’avez pas daigné faire en temps et en heure. Par courrier daté du 27 août 1997, posté le 29 août 1997, la Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales des Hauts de Seine sous couvert de la Préfecture me prévenait de l’examen de mon appel formé le 22 mai 1997 (pièce 3).
Tout faux, Monsieur le Préfet.
| mai 1997 mon courrier à Pasqua | | février 1997 mon courrier à ddass | | août 1997 mon courrier à Richer |
Mes demandes de recours furent transmises au Président et aux membres de la Commission Départementale d’Aide Sociale des Hauts de Seine le 05 février 1997 et le 27 août 1997. La lettre du 22 mai 1997 était adressée au Président du Conseil Général des Hauts-de-Seine. Si Monsieur Charles Pasqua est aussi le patron de la Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales, de la Préfecture et le représentant officiel de l’Etat dans le département, votre poste est inutile, les contribuables apprécieront. A moins que sous couvert de social un Préfet organise des commissions politiques. Cet épisode RMI., d’ampleur limitée, est très représentatif de la continuité de l’affaire Béguin-Nicoud depuis 15 ans. Reprenons : Le Revenu Minimum d’Insertion me fût supprimé le 16 décembre 1996 sur rapport de la représentante de la Caisse d’Allocations Familiales des Hauts-de-Seine, Mme Huguette Latry, qui me réclamait toujours plus de documents justifiant ma situation personnelle, la liste figure en pièce 4. (pièce 4) Ma situation sociale ne l’intéressait nullement. Dans cette intervention , sa seule préoccupation était selon ses propres termes : « qu’est ce que je comptais faire de la boutique incendiée à Montélimar, car elle gêne les autres ». Vous avez validé cette démarche, alors qui sont « les autres » Monsieur le Préfet ? L’absence d’indemnisation par le gan ne semble gêner personne en dehors de la victime que je suis.
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Sans doute une simple coïncidence homonymique, d’emblée, ce nom Latry avait éveillé ma méfiance. En effet, un certain Roger Latry est le propriétaire du « Relais de l’Empereur » à Montélimar dont le salon bleu est des mieux fréquenté.
La France est un bien petit pays, Monsieur le Préfet. D’où arrivait l’enquêteur Gilbert Jeantet en 1989 ? Du Commissariat de Nanterre (92). Il s’est installé à Montélimar rue du Général Pau dans l’immeuble Le Jabron 2, entrée G. Devinez pourquoi ?Le « Relais de l’Empereur » figure en bonne place dans la lettre d’Aurore Ferrié, une commerçante de Montélimar liquidée alors qu’elle avait commis l’erreur de se confier à l’enquêteur de police Gilbert Jeantet. J’ai diffusé ces documents (pièces 5 et 6 ) le 17 août 1992, la veille de l’attentat contre mon magasin.
Existe-t-il un lien Latry entre la Drôme et les Hauts-de-Seine ?
Il déménagea durant l’été 1991 : la surveillance était terminée, l’heure était à l’action. L ’enquêteur Jeantet était incontournable au Commissariat de Police de Montélimar, il tapait les dépositions plus vite que son ombre, celles concernant la boutique Tentation ou encore les « confessions » d’Hubert Chevrier. Eh oui ! Monsieur le Préfet après l’attentat partiellement raté du 18 août 1992 et ma demande d’ouverture d’information judiciaire (pièce 6), les policiers organisèrent une diversion. Un certain Hubert Chevrier fit l’affaire en s’accusant de tous les casses de la boutique Tentation de 1991 à 1992, sauf l’incendie. Ce pauvre gars influençable, dont les parents (le père Hubert) gérants d’une station service à Montélimar étaient mêlés à un trafic de carburants entre trusts pétroliers, constituait un coupable servile. Il fut même condamné par défaut le 16 avril 1993 (pièce 7) alors que cette affaire n’était même pas inscrite au rôle du Tribunal de Grande Instance de Valence ce jour-là. J’ai déjà démontré à de multiples reprises comment des procédures judiciaires bidon initiées par le Commissariat transitaient par la Mairie de Montélimar. Hasard, Mme Jeantet est une employée de cette Mairie.
Pendant que l'enquêteur Jeantet déménageait, à l'automne 1991, ... 2 ] la première phase du casse du 23/24 novembre 1991 avec le découpage de deux trous ronds de 15 cm de diamètre dans la vitre d'une épaisseur de 8mm de la vitrine protégée par des grilles métalliques extensibles. Une autre équipe rivale a plus tard dans la même nuit démoli la vitrine à coup de barre à mine. 3 ] le deuxième casse ................................................................. phrase retirée par mes soins
Les procédures judiciaires bidon, les casses et l'attentat contre la boutique Tentation en 1991, 1992 et 1993 faisaient-ils partie d'un contrat lié à l'obtention de marchés publics en particulier en Ile de France ? La réactivation " politique " d'une momie, ex-leader du Cidunati, servait-elle de paravent ou de caution ? Qui sont " les autres " que je gêne Monsieur le Préfet ? La réactivation « politique » d’une momie, ex-leader du Cidunati, servait-elle de paravent ou de caution ? Qui sont « les autres » que je gêne Monsieur le Préfet ?
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L’affaire béguin-nicoud c’est vingt-sept chefs de service ou cadres de la cogema (cea), drogués sur le plus grand site nucléaire d’Europe entre 1982 et 1988. Cette opération d’envergure a mobilisé les services d’une « secrétaire » de la cogema (CEA) Danièle Servoz, plus connue sous le diminutif de Dany, pour faire tomber l’une après l’autre ces personnes. Ce n’est pas un secret d’état. Le passe temps favori des employés consistait à tenir à jour le compte et à deviner qui serait la prochaine victime. J’étais aux premières loges, mais à l’époque je n’avais rien compris ; même mon chien Ulric fut drogué à plusieurs reprises. En 1985, certaines enquêtes avaient été diligentées dans la région avant d’être rapidement étouffées et classées, les fonctionnaires un peu trop curieux mutés. La « secrétaire » Danièle Servoz pourtant sous haute protection des syndicats, mais un peu trop voyante, a fini par être placée en longue maladie, sans doute pour services rendus. Quels services et à qui ? Rassurez-vous Monsieur le Préfet, elle vit « tranquillement » à Montélimar sous la protection bienveillante des policiers et des administrations. Elle continue d’offrir ses services successivement ou conjointement au Milieu et aux policiers du Commissariat. Sa photo figure dans les annexes de deux de mes lettres ouvertes. La cogema produisait également de la drogue à la même époque à partir d’un laboratoire conçu par le CEA. Combien de laboratoires de production de drogue le CEA a-t-il commercialisé sous le manteau, avec l’argent des contribuables ? Si des commissions se réunissent pour une simple demande d’attribution de RMI. , elles n’ont pas manqué de se réunir pour de telles décisions, peut-être m’en tiendrez-vous informée. Il en va de même pour les détournements de haute technologie vers les pays de l’Est (ex-Urss) concernant le CEA et Thomson liés à l’affaire Béguin-Nicoud. de l’abattage de mon chien, de la saisie irrégulière de ma voiture, de détournements de fonds, d’une tentative de racket par deux policiers en tenue du commissariat de police de Montélimar, d’une kyrielle de procédures judiciaires bidon, de tracasseries administratives sans fin, aujourd'hui complètement dépouillée je n’ai plus rien. Mais je gêne toujours « les autres » semble-t-il. Alors, Monsieur le Préfet des Hauts-de-Seine qui sont « les autres » dont vous êtes devenu le porte parole. Qui sont « les autres » dont le seul fait d’être encore en vie « gêne » ? Je vous prie de croire, Monsieur le Préfet , à l'expression de ma sincère considération.
Mme Béguin-Nicoud Eliane
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